Justine Montmarché a étudié les Arts graphiques au lycée Auguste Renoir, à Paris.

En 2005, elle crée avec des amis, l’association « Jeune Citoyen-ne-s du Monde » qui a pour but l’amélioration des conditions scolaires au Togo (création d’une bibliothèque, soutien scolaire et culturel).

Elle poursuit son cursus à l’école des Beaux-Arts du Port, à l’île de la Réunion, où elle participe à différents workshops avec des artistes comme Buren, Tadashki Kawamata, Joel Hubot, Karl Kugel.

Parallèlement, elle travaille dans le domaine de la photographie événementielle, en suivant des groupes de musique tels que Groundation , Aléla Diane , Le petit Farka Touré, Pura Fé  et Macéo Parker, pour des salles de concerts (Kabardock, Ravine Saint Leu, Le Zénith – Paris, le Cargo-Caen) et pour des festivals (Vieilles Charrues, Cabaret Vert, Bout du Monde).

En 2010, elle vit six mois à Cotonou au Bénin, où elle est embauchée à l’IRD (Institut de Recherche pour le Développement)  pour un reportage photographique sur le paludisme chez la femme enceinte et le nouveau-né.

Fin 2010, elle part trois mois sur les routes d’Afrique de l’Ouest (Maroc, Mauritanie, Mali), où elle entreprend un travail personnel autour des thèmes du rêve et des désirs d’avenir chez les  populations découvertes au gré des rencontres.

Depuis 2011, elle se consacre au partage des savoirs, en intervenant au sein d’écoles primaires dans le Val d’Oise, et en initiant les enfants aux procédés alternatifs de photographie.

Fin 2013-2014, elle repart avec Sébastien sur les routes d’Afrique de l’Ouest (Maroc, Mauritanie, Mali), en poussant le trajet jusqu’au Burkina-Faso. Elle réalisera un travail sur les anonymes emblématiques des rues d’Afrique de l’Ouest, à l’aide d’un fond de studio, installé de manière temporaire avec l’aide des personnes rencontrées. En parallèle, elle réalise avec Sébastien, un travail sur l’éducation africaine, au sein de plusieurs écoles du Mali et du Burkina-Faso.

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